lundi 22 octobre 2012

Parfois.

Parfois quand le temps est lourd, que l’air immobile n’encourage pas au mouvement, on peut se laisser glisser sur un lac isolé, loin de toute civilisation.


Et quelques fois quand tout est réunit; calme silence sérénité et rêverie. On peut avoir la chance très rare d’en apercevoir un.
Isolé sur son roché, il s’ennuie et attend.



En s’approchant tout doucement pour ne pas l’effaroucher, il se peut qu’il vous invite.


Et là, il vous ferra partager des moments fantastiques.


Cet Ondin, tout droit sorti des contes de fées vous entrainera dans sa débauche.






Ne vous menant sur la berge que pour vous permettre d’y reprendre votre souffle.



Mais rapidement il vous poussera à retourner avec lui pour continuer vos jeux.







Et quand vous serez arrivé à vos limites...


...il s’en retournera dans les profondeurs sombres.
Ne vous laissant qu’un souvenir.


Par contre, si vous lui avez plus, il se peut que cet être fantastique revienne de temps en temps sur les lieux de votre rencontre dans l’espoir de vous y revoir !


8 commentaires:

  1. voila des ballets à vous couper le souffle.
    ça donne envie de se jeter à l'eau.

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  2. Mais vas-y, ne te prive pas, jette toi ! c'est fait pour !

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  3. fin octobre l'eau est froide dans le rhône
    et puis il ya trop de courrant pour mes petits bras chétifs.
    bref je ne suis pas un bel éphèbe mythologique,
    je suis juste une poule mouillé!

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  4. Excellent et très agréable à lire

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  5. Comme ça, pour avoir de tes nouvelles.

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